Pour Lionel Champelovier, qui dirige l’écurie Wolf Racing France, « le moment est venu en France, de relancer une filière de jeunes talents en sport auto. Cet aspect indispensable pour mener les futurs pilotes vers les plus hautes sphères de la compétition a été trop longtemps délaissé ». Avec sa formule mono-marque, à coût de revient très mesuré selon les standards courant en sport automobile (on parle de 80 000 € pour une saison complète), Wolf Racing a attiré de nombreux prétendants.

Ceux qui opteront pour le championnat de France participeront, à compter du 5 mars, à six week-end de course, auxquels il faudra rajouter quatre rendez-vous pour le nouveau championnat d’Europe. Soit un total de 20 courses pour les plus assidus.

« Nous accompagnons nos pilotes dans tous les aspects de la compétition. Cela englobe la recherche de partenaires financiers, l’approche sportive et la gestion administrative de leur saison. Nous voulons leur mettre le pied à l’étrier afin que les plus motivés puissent continuer à s’exprimer n sport auto », assure le patron de l’écurie.