La nouvelle reine de beauté alésienne s’appelle Lysa Blanc-Nalle, elle a 18 ans, est originaire de Saint-Christol-lez-Alès et est actuellement en BTS Négociation et Digitalisation de la relation client. Elle succède ainsi à Chloé Hervieux, Miss Alès 2022. « Je suis très surprise, les autres candidates sont très belles, a confié la jeune femme. En plus toute ma famille est présente ce soir… Je suis très fière, c’est un rêve qui se réalise ! »
Après deux années d’élections organisées par internet à cause de la crise sanitaire, le concours Miss Alès a donc retrouvé cette année son format habituel, avec le grand retour de la soirée de gala, samedi 11 février, au parc des expositions d’Alès Agglomération. Une soirée présentée par Delphine Wespiser, Miss France 2012, au cours de laquelle les dix prétendantes au titre ont pu se présenter aux 1 500 spectateurs et au jury. Dans la salle, Miss France 2023 élue en décembre dernier, Indira Ampiot, était également présente pour vivre à Alès, comme chaque année, sa première élection en région.
Défilés en tenues de ville, balnéaire, chic et de soirée, entrecoupés d’animations assurées par l’orchestre “Cocktail de nuit” et l’école de cirque d’Alès “Le Salto”, ont égrainé la soirée au cours de laquelle Lysa Blanc-Nalle a donc tiré son épingle du jeu. Elle a été couronnée aux côtés de ses deux dauphines : Pauline Benoit (1re dauphine), 22 ans, d’Alès, et Louane de Backer (2e dauphine), 20 ans, de Boisset-et-Gaujac.
La jeune alésienne représentera la ville d’Alès pour les douze prochains mois lors de nombreux évènements comme la Feria ou la Semaine cévenole. « C’est ma ville natale, j’ai grandi et étudié ici, c’est un honneur et une grande joie d’aller à la rencontre des Alésiennes et des Alésiens. » Elle s’apprête également à poursuivre l’aventure des Miss en préparant le concours de Miss Languedoc, ultime étape avant d’espérer participer au prestigieux concours Miss France. La demi-finale est d’ores et déjà programmée le 31 juillet à Alès, comme l’an dernier, et la finale le 4 août à Beaucaire. « J’ai envie d’y croire. Pourquoi pas revêtir l’écharpe de Miss France ? », lance Lysa Blanc-Nalle comme un défi à elle-même.
