Vie quotidienne

La Ville a célébré 1400 nouveaux Alésiens

CérémonieHôtel de VilleNouveaux Alésiens


Le maire d’Alès a invité les nouveaux Alésiens à une réception conviviale à l’hôtel de ville, samedi 11 décembre, dans le respect des mesures sanitaires.

À l’entrée de la salle des États de l’Hôtel de Ville, après la distribution du petit livret édité par l’AVF (Association des Villes de France), représentée par son président Gilbert Jacquiau, Max Roustan, le maire, s’est  chargé de remettre à chacun un agenda de la Ville accompagné de quelques chocolats, et un petit pot de miel fabriqué par les abeilles du quartier de la Prairie. Le ton de la cérémonie d’accueil des nouveaux Alésiens était donné. À la fois solennel et chaleureux, ce moment entre édiles et habitants était à l’image d’une ville qui sait recevoir ses invités et retenir ses nouveaux arrivants.

« Une ville où l’on trouve tout ce dont on peut avoir besoin »

À la tribune, Max Roustan, après avoir lancé le film de présentation réalisé par la Direction de la Communication, a pu développer quelques-uns des nombreux atouts que compte sa cité. « Ce sera sûrement l’ultime  réception publique de l’année. Malgré la situation sanitaire, nous avons pu l’organiser de façon allégée, en respectant scrupuleusement les gestes barrières », soupirait le maire avant de brosser un rapide tour d’horizon d’une ville qui compte « tout ce dont on peut avoir besoin. Un hôpital neuf, une scène nationale, une médiathèque rénovée, une piscine de qualité ». Mais aussi « un cœur de ville agréable et vivant et un taux de création d’entreprises de 13,7 % malgré un contexte économique compliqué ». Sans oublier d’éclairer les quelque 1400 nouveaux Alésiens sur les grands projets à venir, comme la réfection des Halles de l’Abbaye ou encore « la reprise totale de la Grand-rue Jean Moulin qui deviendra l’un des lieux les plus prisés d’Alès »

Il ne restait plus qu’à procéder au tirage a au sort du vase d’Anduze. C’est Ayla, jeune maman arrivée de Charleville-Mézières, dans les Ardennes, « pour suivre mon mari qui a trouvé du travail ici », qui est repartie avec le lot chargé de produits locaux.