Depuis plusieurs années, la Ville d’Alès a fait en sorte d’amener ses écoles à un niveau de confort d’études et de qualité de matériel de tout premier plan ; en construisant ou en réhabilitant de nombreux établissements et en les équipant de matériel dernier cri, tels que les tableaux interactifs numériques.
Si les lourds investissements ont été mis en pause cette année, les travaux d’entretien et d’amélioration se sont poursuivis dans la quasi-totalité des écoles d’Alès : près de 1 M€ ont ainsi été investis.
La rentrée 2021 se traduit tout d’abord par des effectifs stables, aux alentours de 3 000 élèves, et la poursuite de la baisse des demandes de dérogation (environ 80 cette année). « L’école de quartier est désormais l’école naturelle pour les familles », se félicite Christian Chambon, adjoint au maire d’Alès, en charge de l’Éducation.
Les efforts nécessaires pour la réussite éducative
Max Roustan, maire d’Alès, a également annoncé le maintien de l’accueil des moins de 3 ans dans les écoles de la ville : « Même si ça coûte de l’argent, nous avons été à la pointe dans ce domaine et il faut pouvoir offrir des solutions aux parents ».
Une stabilité qui se retrouve également dans les tarifs de la restauration scolaire qui restent inchangés pour 2021/2022. Près de 90 000 repas sont servis dans les cantines d’Alès.
Par ailleurs, insistant sur l’objectif de « permettre à un maximum d’enfants d’Alès de réussir et de rester dans leur ville », Christophe Rivenq, président d’Alès Agglomération, se réjouit que dans le Projet éducatif de territoire (PEDT), « l’aide à la lecture et l’aide au langage, portées depuis longtemps par la Municipalité, reçoivent aussi cette année le soutien de l’État ».
Enfin, sur le plan strictement comptable, Alès perd une classe (Faubourg d’Auvergne, maternelle), mais en gagne 4 (Panséra maternelle, Louis Leprince Ringuet maternelle, Mandajors maternelle et Claire Lacombe élémentaire).